ABSTRACT
Compte tenu des symptômes présentés et des résultats de l'échographie, il ne peut être reproché au praticien de ne pas avoir diagnostiqué une carcinose péritonéale, dont la patiente est décédée deux mois après la consultation. Dans les circonstances de l'espèce il ne saurait, non plus, lui être reproché d'avoir prescrit un mois plus tard à cette patiente, qu'il suivait depuis de nombreuses années, et sans qu'elle l'ait consulté par elle-même, des spécialités destinées à soulager les douleurs dont son mari lui avait indiqué la persistance. Ignorant son hospitalisation, ne pouvait se tenir informé de l'état de la patiente qui avait décidé de ne plus le consulter.